La porte du chalet dégageait un air lugubre sombre et triste à mes yeux, partout autrefois au jardin quand t-il y avait mes parents chers à mon cœur prenant leur verre de thé entrain de discuté de nous leur fils et filles et aussi aimant et bons d’âmes qu’il fondèrent une belle famille. mais après eux, que reste t-il de leur mémoire ? Un chalet abandonnait, ho doux chalet de mon enfance que des mauvaises herbes partout. Peines tu aussi de cette solitude que j’ai tant traînée avec moi? Et le temps passe, on se laisse aller toi et tes mauvaises herbes moi et mes mauvaises manies que nous reste t-il ? je suis là à présent pour m’occuper de toi, oui mais moi qui c’est qui va m’aimer dans mes derniers jours pour seul compagnon, je n’ai que mon vin et ma foule de souvenirs heureux mais aussi tristes et poignants. Me voilà au milieu du vaste salon théâtre de réceptions majestueuses au coin de la pièce on avait ranger mon piano classique et je commence à retracer des scène des fragments de souvenir de soirées musical Ou je frôler le divin en jouant du Mozart ou du verdi épris par des sentiment de nostalgie, Je commencer a nettoyer se beau chef d’œuvre de l’humanité enfin mon piano. Les meubles étaient ranger trop d’espace vide et partout même en tout un chacun je me disait Ou peuvent être tout ces gens qui furent un jour en ces lieux, sont il entrain d’airé a la recherche du soi ou de l’autre ou encore prient dans se cercle vicieux de la vie l’argent  Le profil et l’abstraction de l’humain en eux, toute ces questions me travailler au fur et a mesure que je franchissais chaque porte du chalet, et chaque chambre, un visage ou une scène Me revenait enfouie tout au fond de ma mémoire me rappelant mes frères et sœurs ou un parent venu nous rendre visite.

La mort me guette oh loi de la vie je me donnes a toi après que tu m’ai tout pris, tous ceux que j’ai aimé, je n’attend plus rien de toi misérable vie, qu’une illusion quand on sais que tout ceux qu’on a aimer un jour ne sont plus alors on se dit quel est la raison d’être si tout ce qu’on a vécu après la mort n’est plus. Quand j’étais enfants la vie se résumer en des choses pleines de couleurs tel les jardins verts qui fascinaient dans le temps, je trouvais un plaisir immenseRien qu’on observant une fleure ou en poursuivant un papillon enrobé de belles couleurs vives C’était beau, et l’on grandis et aussi nos besoins avec nous et l’on reconnaît le papillon et la rose. Et un jour notre curiosité nous entraîne versd’autreshorizons obscurs et des fois fatals,Les femmes, l’alcool et d’autres substances destructives mais plaisantes, l’on goutte au plaisir De la vie et un beau jour on se trouve dépendant de la chose soit une belles créature qui t’envoûte ou une drogue qui satisfait tes frustrations et les dissipe tu te trouves au milieu d’un autre univers ou tu es maître de ton destin, et c’est là ou tu te dis créer la vie. Moi mon malheur est que j’ai aimé femme et alcool et me suis éloigné du droit chemin qu’est ma religion. L’islam qui dans le temps régissait les relations humaines ainsi que l’économie et la politique mais surtout le relationnel qui en ces écrits m’intéresse. Je souhaiterais consacré un passage pour l’amour des êtres dans le cadre de la religion, imaginez que fut un temps ou l’homme aimait la femme juste en regardant ses yeux car c’était la seule chose qui pouvait voir Tellement la femme jouissait d’une grâce et d’un respect, elle portaient ce qu’on appelle Le hijab et l’on pouvait voir que les yeux et l’allure, mais encore l’homme était influençait Surtout par le degré du savoir de la femme concernant la religion la bonté enfin les vertus Morales de l’être convoité pour le mariage, imaginez que vous aimer ce que vos yeux non vues mais que votre cœur et raison, on perçu n’es pas divin l’amour ? Qu’aujourd’hui Plus influencé par un statut ou une beauté corporelle que de la matière destinées a flétrir et Aussi a vieillir, et je nommerais ceci l’amour intelligible que l’on ne peut plus trouver on ces temps de bassesse humaines il est vrai que nous avons évoluer en matière de science de technologie et d’industrie mais dites vous bien que l’on est plus primitif sur le plan relationnel. Et émotionnel qu’aux temps de l’obscure. Ne pouvant façonner l’amour et le moderniser, L’on sait cacher derrière des mensonges et des masques qui nous rendirent hypocrites. Au point de se demander, qui suis-je ? Est-ce que l’homme moderne se résume en le profil matériel qui lui permet juste d’exercer cette volonté de puissance que NIETZSCHE N’a cessé de mentionner et qu’aujourd’hui nous entraînent plus vers l’animal Que l’humain. Que nous régis hors nos désirs incessants d’évoluer d’avoir toujours plusEt d’être meilleure même au dépend de la moral et du bien. Peut être des lecteurs croiront. Que ces paroles émanent d’une personne qui a raté sa vie et se morfond, je leur répond que. Si le critère de réussite et celui d’avoir un bon statut et aussi d’études brillantes, alors je suis quelqu’un de réussi mais au fond je suis plus déçu des gens et avant eux de moi oui car si Je suis arriver a se que je suis forcément, j’ai du faire des choses que dans une autre vie J’aurais refuser par principe et que dans le temps j’ai accepté par besoins et nécessité Et si c’était à refaire je le referais et sans honte je le dis car je ne fus le seul impliquer Mais bon pour dire à l’humain qu’il peut se rattraper mais faut-il être MOUSLIMSe recueillir en l’islam